Actualité littéraire "J'étais une île"

Antonio, jeune guide sur une charmante petite île en proie au développement touristique veut donner un sens à sa vie. Il est en quête d’amour et de fraternité mais le devenir de ce coin de paradis est en péril. Bronda « n’est pas à vendre » et Antonio, idéaliste, veut combattre avec les pêcheurs pour préserver ce lieu qui lui est cher... Sa rencontre avec Vanessa et l’amour qui va en naître sera t-il plus fort que son engagement personnel dans cette lutte sociale ?

Amour, fraternité, humanité, courage mais aussi injustice et désillusions font de ce roman : une invitation à suivre ses rêves et ses convictions pour trouver sa vérité.

Joli premier roman, on attend les autres avec impatience, à ta plume, John !! Je vous recommande vivement la lecture de ce livre, encourageons les talents de romancier surtout lorsqu'ils proviennent du Lycée PISSARO !
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Comments

[justunmoment]

Salut à toutes et tous

Bon Hervé pourrais tu créer une catégorie poésie.
Ou bien je vous colle mes créations dans littérature comme celle que je vous joint ci après

Mais avant de vous donner le plaisir de me lire je fais ma pub, j'ai crée un blog, et quand je l'aurais fini, j'en ferais un roman, ou plutôt un recueil. il n'en est qu'au début, je vais y conter ma vie en vers et alexandrin, du jour ou j’ouvris mes yeux à aujourd’hui je vous invite à le découvrir, et si vous aussi vous avez l'âme d'un poète a y coller un texte, à y participé de votre verve

http://justunmoment.canalblog.com/

Monsieur le clochard

Pourquoi aller écrire des histoires qui se passent hors de notre pays ?
Alors qu’il y a tant de désespoir à juste quelques kilomètres d’ici,
Je ne peux qu’écrire tout mon émoi quand le matin dans mon camion,
Je passe devant toi Mr le clochard maintenant depuis tant de saisons.

Tu habites ici à la sortie du périph sur ce bout de bitume et de béton,
Tu en a fait ton chez toi ta niche mais nous on dit c’est ta maison,
En plus maintenant tu y es roi car tes voisins n’aimant pas le bruit,
A cet endroit ils l’ont fait couvrir pour mieux dormir chez eux la nuit.

Tu vis là aux portes de la capitale en passant tes journées sur un lit,
Avec à côté de toi une petite table où tu y as déposé toute ta vie,
Il est huit heure celle du déjeuner alors du haut de ton perchoir,
Tu humes toutes ces sales fumées qui te feront tenir jusqu’au soir.

Ce n’est pas celle d’une friture tu n’as pas les moyens d’en acheter,
Mais justes de toutes ces voiture qui devant toi ne font que passer,
A l’intérieur il y a moi il y a lui et bien au chaud dans nos auto,
On te regarde avec pitié et tristesse qu’on en a froid dans le dos.

On se dit comme est ce possible de nos jours de vivre une telle vie,
Alors le temps d’un feu rouge on oubli un instant tous nos soucis,
On n’ose même pas lever les yeux de peur de croiser ton désespoir,
Puis le feu passe au vert alors on te laisse avec ta vie et ton trottoir.

On voudrait bien s’arrêter pour te donner un petit peu de réconfort,
Mais on ne peut car derrière ils sont pressé de retrouver leur confort,
Leurs belles maisons bourgeoises truffées d’écrans plats et de sofas,
Alors que toi tu dors à cet endroit dans le plus grand des froids.

Lui il va rentrer et boire un bon whisky pour fêter un nouveau contrat,
Toi tu a ta petite bouteille de vin qui te bousille complètement le foi,
Il va faire un petit souper n’ayant pas encore digéré son repas d’affaire,
Mais toi tu ne mange pas la poubelle un autre avant toi est venu la faire.

Alors tu reste las sous tes couvertures et tu te mets en mode survie,
En te disant dans tes pensées que personne de toi ne se soucis,
Tu attends que la vie passe en espérant que le froid sur toi gagnera,
Pour dans la nuit t’emporter dans un dernier mais triste trépas !

Mais comment peut on rester ainsi indifférent à l’intérieur de soi ?
Il faut trouver une vraie solution pour mettre fin à tous ces dégâts !
Je vous le demande bien las à vous messieurs les hommes politiques ?
Car ce n’est pas vous qui vivez là sous ce bout de périphérique….

[Kristof]

John Baude, un marinois qui plus est. Avec son nom tout droit sorti d'un film d'espionage (JB), je croyais que c'étais plus un matheux, quoique, l'un n'empêche pas l'autre.Un peu de lecture pendant mes vacances ne fera pas de mal.
Je ne suis décidémment pas au bout de mes surprises sur ce blog.